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Suite à des résultats novateurs de sérieuses recherches scientifiques très récentes, la neurologie cognitive développe et offre des outils surprenants, notamment pour la lutte contre l’absentéisme, la violence scolaire et l’exclusion sociale…
Lors de l’étude PISA 2000, en particulier, les résultats des élèves allemands se sont révélés alarmants. Les mesures qui ont été prises en Allemagne par la suite, par la mise en pratique de méthodes issues de résultats scientifiques récents sont actuellement à la pointe de la mise en application de la recherche scientifique la plus récente, et ce, au niveau international. Et ceci, notamment grâce à la création en 2004 de l’Institut ZNL (Transferzentrum für Neurowissenschaften und Lernen),
à l’Université d’Ulm ; http://www.znl-ulm.de/ …
Dans le cadre d’une étroite collaboration avec divers partenaires en Allemagne, Domitia réalise la transposition de ces découvertes dans le quotidien de la pratique pédagogique.
Nous sommes convaincus, que seule la coopération directe entre les pédagogues et les scientifiques concernés permettra de saisir les opportunités considérables que nous offre le XXIème siècle, à l’ère du tout-électronique.
De nombreux emplois disparaissant du fait de gains de productivité liés à l’usage intensif de l’électronique et de l’informatique, ce nouveau siècle nécessite la mise en place de nouveaux marchés du travail, pour de nouveaux métiers, afin de créer de nouveaux emplois, au moins aussi nombreux que ceux qui disparaissent…
Au cours de la transformation de la «société du travail» vers une «société du savoir» des méthodes neuro-didactiques expérimentales ont déjà révélé, et révèlent encore, des succès surprenants et remarquables, notamment pour l’insertion et l’intégration de personnes de faibles niveaux socio-éducatifs.
Ainsi des apprenants défavorisés précédemment principalement désorientés par une pédagogie magistrale, écrite (via une acquisition pédagogique principalement par la vue, l’écriture) ont pu révélé un don nettement plus important que des apprenants intellectuellement plus favorisés lors d’une approche strictement psycho-motrice s’addressant à l’oui et à la motricité pour l’acquisition de compétences musicales.
Ces derniers, à cause de leurs capacités acquérantes prioritairement par la vue et la réflexion, avaient alors besoin de bien plus de temps pour arriver aux mêmes résultats que les apprenants plus manuels qu’intellectuels.
Le potentiel de personnes aux fortes capacités sensori-motrices et artistiques pourtant n’est qu’à peine reconnu à l’école.
Ces notions de neuro-didactiques qui ont été mis en évidence, par exemple, grâce skate-board, dans les disciplines du «break-dance», et du «parcours urbain», jusque pour les sapeurs-pompiers de Paris, peut s’avérer une ressource extraordinaire pour une société, où les activités pédagogiques, linguistiques et culturelles constituent des marchés et sont parfois des «produits prioritaires» non négligeables…
C’est notamment aussi dans ce contexte, que la neuro-didactique peut créer de nouveaux métiers, par exemple dans le domaine de l’enseignement musical et de la transmission de connaissances et compétences linguistiques, qui ressemblent alors parfois plutôt à des activités sportives en comparaison des méthodes traditionnelles d’enseignement, avec leurs fameux cours magistraux…
On peut aussi rappeller que la fameuse « Méthode Freinet », de Célestin Freinet, avec son « école hors les murs », ainsi que l’Ecole du « Roy Art », sont des exemples précurseurs et probants de ce dont la neuro-didactique est capable en termes de réussite et d’efficacité !
N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements.
Et ce d’autant plus que tout n’a pas encore trouvé sa place sur notre site web, encore en défaut de mise à jour…
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